Les élections européennes : étape importante pour les animaux

L’année 2019 est une année électorale : celle des élections européennes, où les citoyens européens renouvellent les eurodéputés pour les cinq prochaines années. Cette échéance électorale est importante pour les animaux car nombreuses sont les normes de l’Union européenne qui les protègent. Les ONG européennes de défense des animaux, dont la LFDA, se mobilisent pour faire en sorte que le prochain Parlement européen et la prochaine Commission européenne prennent des mesures en faveur de la condition animale.

Détention d’animaux sauvages : une nouvelle réglementation insatisfaisante

Le nouvel arrêté du 8 octobre 2018 modifie la réglementation relative à la détention d’animaux d’espèce sauvage. Une initiative qui aurait pu permettre d’améliorer le sort des animaux sauvages captifs et de renforcer la lutte contre le trafic d’espèces protégées. Cependant, la nouvelle réglementation n’améliore par la réglementation existante, voire assouplit, sur certains points, les normes en vigueur depuis 2004, au risque de favoriser le trafic illégal d’espèces sauvages protégées.

Cailles en batterie : une sombre réalité

À la grande méconnaissance du public, la coturniculture, ou l’élevage de caille, encage des animaux pour récolter leurs œufs. Les cailles élevées pour la viande ne sont pas réellement mieux loties que leurs congénères pondeuses : sur le même principe que les poulets de chair, elles sont nombreuses à être entassées au sol dans des bâtiments fermés.

Recherche : les mollusques au labo

Les céphalopodes sont utilisés depuis longtemps comme modèle pour la recherche scientifique. Pourtant, plusieurs études suggèrent qu’ils seraient en mesure de ressentir de la douleur. L’expérimentation sur ces animaux est ainsi source de préoccupations, d’ordres éthique et scientifique. En Europe, notamment, les conditions d’hébergement et d’expérimentation sur les céphalopodes se sont améliorées, et la LFDA y a largement contribué.

Des lapins mal lotis

La filière cunicole française abat 31,6 millions de lapins par an (2015). Malgré un nombre important d’animaux, les français sont généralement peu informés sur les pratiques d’élevage de la filière. Conditions d’élevage, législation, et alternatives peu développées, focus sur cette filière peu connue.

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