Sous ce titre, l’hebdomadaire Politis du 29 mars s’est fait l’écho de l’interpellation par la Fondation LFDA et six autres associations des candidats à l’élection présidentielle.
« Pour trois réformes: le droit, car le statut de l’animal varie (captif, domestique, sauvage ?), « être sensible » ou « bien », selon le code considéré; le contrôle par une Haute autorité, car il est insuffisant et exercé par des structures en charge de l’exploitation de l’animal; et l’enseignement pour éduquer les élèves aux obligations envers les espèces vivantes ».