Aux côtés de 70 parlementaires et 34 organisations de protection animale, la LFDA est cosignataire d’une tribune pour demander l’interdiction des colliers d’éducation coercitifs, initiée par CAP et la Fondation Brigitte Bardot, et publiée dans Libération le dimanche 31 mars 2024.
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La LFDA a co-signé une lettre à l’attention de la Maire de Paris, afin de demander d’interdire la vente d’animaux de compagnie lors des salons ou foires.
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Nous invitons les candidats aux élections européennes à s’engager sur une série de mesures pour améliorer la condition animale.
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Aux côtés de 37 vétérinaires, experts et ONG de protection des animaux, la LFDA a cosigné cette tribune dans Le Parisien du 11 février 2024. À l’approche des JO 2024, nous appelons à faire progresser le bien-être, la prise en compte de la douleur et des besoins des chevaux dans le sport de haut niveau.
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Nous avons cosigné cette tribune dans Le Monde du 30 janvier 2024, pour soutenir la proposition de loi de la députée Sandra Regol visant à interdire l’importation et l’exportation de trophées de chasse d’espèces protégées.
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Quelles sont les connaissances des enfants sur les animaux ? Une étude menée par la Chaire bien-être animal tente d’y répondre.
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Saisi par les ONG, dont la LFDA, le Conseil d’Etat a décidé que le réaménagement de bâtiments de poules pondeuses avec des cages, tel que l’a prévu le décret du ministère de l’Agriculture, respecte l’esprit du législateur.
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A l’occasion du deuxième anniversaire de la loi visant à lutter contre la maltraitance animale, la LFDA et ses partenaires associatifs demandent au ministère de la Transition écologique d’appliquer la loi pour les animaux sauvages captifs.
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Malgré les décisions juridiques contre la période complémentaire de déterrage des blaireaux, le Comité de Berne a rejeté la plainte des ONG.
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Treize associations françaises de protection animale appellent la Commission européenne à publier le plus rapidement possible la révision de la législation européenne sur le bien-être animal. Initialement attendue à l’automne, cette réforme n’apparaît plus dans la liste des priorités de la Commission.
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