Les actes du colloque “Droits et personnalité juridique de l’animal” de la LFDA s’articulent autour des deux tables rondes. Le colloque s’est tenu le 22 octobre 2019 à l’Institut de France. Robert Badinter nous a fait l’honneur de conclure le colloque.
Louis Schweitzer s’empare du sujet de la consommation de viande avec rationalité pour aider le lecteur à comprendre les enjeux de santé, environnementaux et éthiques et à faire des choix éclairés.
Version numérique gratuite en anglais – Constitué d’articles rédigés et actualisés par la vingtaine d’experts internationaux du bien-être animal intervenus au colloque du même nom organisé par la LFDA en 2015 à l’Unesco, l’ouvrage crée la jonction entre les mondes du droit et des sciences.
Constitué d’articles rédigés et actualisés par la vingtaine d’experts internationaux du bien-être animal intervenus au colloque du même nom organisé par la LFDA en 2015 à l’Unesco, l’ouvrage crée la jonction entre les mondes du droit et des sciences.
Sous la forme d’un dialogue vivant, accessible à un large public et construit autour de quelque soixante dix questions réparties en 5 chapitres, les deux auteurs nourrissent une réflexion rationnelle et très moderne, fondée sur une triple argumentation : éthique, juridique et scientifique.
Comment au regard des philosophes comme des artistes plasticiens au cours des trois derniers siècles et jusqu’à aujourd’hui, la douleur et la souffrance subies par les animaux ont-elles été prises en compte par les hommes ?
L’impact de l’éducation des jeunes par rapport au respect des autres espèces est fondamental ; l’enfant avec ses jouets développera un certain mode de relation aux « autres », comme l’adolescent, à partir des jeux, acceptera et intériorisera un certain nombre de règles nécessaires à toute intégration sociale.
De caractère essentiellement juridique, il expose les grandes lignes de notre législation. Les références aux textes législatifs, le rappel des jurisprudences de principe et surtout la bibliographie, devraient permettre de trouver rapidement les éléments complémentaires.
L’ASPAS et le RAC proposent une nouvelle brochure couleur de 64 pages démontrant en quoi ce classement des mal-aimés en « nuisibles » ne repose sur aucune justification scientifique ni écologique
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