Collaboration entre les vétérinaires et les ONG
La LFDA a rejoint le comité de liaison associations de protection animale et vétérinaires (CLAPAV) qui regoupe ONG et organisations vétérinaires.
La LFDA a rejoint le comité de liaison associations de protection animale et vétérinaires (CLAPAV) qui regoupe ONG et organisations vétérinaires.
Un sondage de la LFDA, la FBB et la SPA montre que les Français plébiscitent un cirque sans animaux. Qu’attend le gouvernement pour agir sur le sujet ?
L’organisation internationale World Animal Protection (WAP) a rendu public en octobre 2019 un rapport sur le secteur des delphinariums.
L’espèce humaine n’a jamais été aussi peu violente. C’est en résumé la thèse de Steven Pinker dans son ouvrage La part d’ange en nous.
Un mécanisme inscrit dans la directive européenne sur la protection des animaux dans les laboratoires permettrait de faire reculer l’expérimentation animale.
La LFDA propose un livret informatif pour expliquer au consommateur la production de foie gras et lui permettre de faire un choix éclairé.
8 ONG de protection animale s’insurgent contre un courrier du ministère de l’Agriculture qui annonce un recul sur l’élevage des poules pondeuses en cage.
La Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences (LFDA) a participé à la concertation sur les animaux sauvages captifs organisée par le ministère de la Transition écologique et solidaire entre avril et juillet 2019. Cette concertation concernait quatre sujets : les animaux sauvages dans les cirques,
les delphinariums,
les parcs zoologiques,
les visons élevés pour la production de fourrure.
Voilà un an que nous parlons dans cette revue de l’initiative citoyenne européenne (ICE) pour mettre fin à l’élevage des animaux en cage. L’ICE est arrivée à son terme le 11 septembre dernier, ce qui signifie que le temps imparti pour la signer est écoulé. Excellente nouvelle : nous avons atteint 1,6 million de signatures !
La détention d’ours en captivité est autorisée en France, dans les zoos évidemment, dans les cirques également, mais aussi par des « montreurs d’ours », c’est-à-dire des dresseurs qui se promènent de commune en commune, souvent à l’occasion de fêtes « médiévales », pour produire un ours en spectacle. Pourtant, nous ne sommes plus au Moyen-Âge !