La LFDA publie la revue trimestrielle Droit Animal, Éthique & Sciences (ISSN 2116-2743) depuis 1991. Elle traite des actualités dans le domaine de la protection animale et propose des articles de fond permettant de mieux comprendre les enjeux de la condition animale.
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Le régime juridique des sangliers est complexe. Entre chasse et destruction, les règles les concernant sont méconnues en France, et les solutions actuelles à leur prolifération limitées.
Le nouvel arrêté du 8 octobre 2018 modifie la réglementation relative à la détention d’animaux d’espèce sauvage. Une initiative qui aurait pu permettre d’améliorer le sort des animaux sauvages captifs et de renforcer la lutte contre le trafic d’espèces protégées. Cependant, la nouvelle réglementation n’améliore par la réglementation existante, voire assouplit, sur certains points, les normes en vigueur depuis 2004, au risque de favoriser le trafic illégal d’espèces sauvages protégées.
Dans le premier ouvrage, Olivier Le Bot met le droit français de l’animal à la portée des non juristes et juristes non spécialistes de cette matière ; dans le second, l’auteur offre un panorama des dispositions constitutionnelles dans le monde relatives à l’animal et leur portée.
Le 26 février dernier, la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu une décision claire et univoque en faveur de l’Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoir (OABA) et de la protection animale : l’abattage sans étourdissement n’est pas compatible avec le label agriculture biologique.
Le 24 janvier, l’Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoir (OABA) et la Fondation Brigitte Bardot (FBB) organisaient un colloque sur l’abattage sans étourdissement. Cette réunion se tenait à la Représentation permanente du Parlement européen à Paris, sous le parrainage du député européen Pascal Durand.
Faut-il tuer les animaux « sur le coup » ou bien les saigner lentement ? Et comment s’y prendre ? C’est ce qu’Élisabeth Hardouin-Fugier s’attache à définir dans cet ouvrage, en retraçant l’histoire de l’abattage à travers différentes cultures et époques.
Madame Stéphanie de Monaco, Présidente d’honneur de la Fédération mondiale du cirque, indiquait, dans une interview accordée au figaro en décembre 2018, qu’elle souhaitait faire « reconnaître la valeur culturelle du cirque traditionnel auprès de l’Unesco ». A travers cette lettre ouverte Monsieur Alain Grépinet, vétérinaire, ancien praticien et ancien inspecteur vacataire en abattoirs et en douanes, fait part de sa stupéfaction.
Les réflexions en éthique et la défense d’une certaine idéologie peuvent conduire à des moyens d’action parfois controversés.Ce livre est un recueil de réflexion et de solutions pour accepter l’Autre et aller vers un monde plus éthique envers les animaux et les hommes.
D’après une étude statistique pour Eurogroup for Animals, les français méconnaissent les véritables condtions d’élevage des poulets, bien qu’il s’agisse d’une des viandes les plus consommées du pays. Néanmoins, une majorité d’entre eux estime que la réglementation est trop souple, et souhaite pouvoir acheter des produits sur lesquels le niveau de bien-être des animaux serait indiqué. L’étiquetage « Bien-être animal » développé par la LFDA, les associations CIWF-France, l’OABA, ainsi que le groupe Casino répond à ce souhait.
À la grande méconnaissance du public, la coturniculture, ou l’élevage de caille, encage des animaux pour récolter leurs œufs. Les cailles élevées pour la viande ne sont pas réellement mieux loties que leurs congénères pondeuses : sur le même principe que les poulets de chair, elles sont nombreuses à être entassées au sol dans des bâtiments fermés.